Un guide à contre-courant pour être soi-même

Un guide à contre-courant pour être soi-même

Un guide à contre-courant pour être soi-même
Un guide à contre-courant pour être soi-même

L’art subtil de s’en foutre un livre de Mark Manson qui est un guide à contre-courant pour être soi-même.

Je l’écoute en ce moment et déjà les premières vingtaines de minutes me plaisent. 😁
Le titre est provocateur bien évident, il ne nous incite pas à s’en foutre de tout mais il y a un peu de ça quand même. 😁
extraits :
« … les conseils dont on te rebat les oreilles du matin au soir pour positiver et trouver le bonheur n’aboutissent, en réalité, qu’à te focaliser sur ce qui te manque. Dans le genre faisceau laser, ils pointent sur tes défauts et tes ratages. Dans le style loupe, ils les grossissent pour que tu les voies en énorme. Du coup, tu potasses les meilleures stratégies pour te faire de la thune parce que tu penses que tu n’en as pas assez comme ça. Tu te poses devant le miroir en répétant « je suis beau » parce que tu trouves que tu ne l’es pas assez comme ça. Tu te mets à suivre scrupuleusement les recommandations des guides genre « les Relations amoureuses pour les Nuls » parce que tu juges que tu n’es pas assez aimable comme ça. Tu fais des exercices de visualisation à la con pour réussir davantage parce que tu as dans l’idée que tu ne réussis pas assez comme ça.
Paradoxalement, cette fixette sur le positif – sur ce qui est mieux, sur ce qui est supérieur – ne sert qu’à te rappeler en boucle ce que tu n’es pas, ce que tu n’as pas, ce que tu aurais dû être mais a échoué à devenir. Quelqu’un de vraiment heureux n’éprouve pas le besoin de se planter devant une glace pour répéter cinquante fois « je suis heureux ». Il l’est. Point barre. »
« Il existe un proverbe texan qui dit : « Ce sont les plus petits chiens qui aboient le plus fort. » Le gars qui a confiance en lui n’a aucunement besoin de prouver qu’il a confiance en lui. La nana friquée n’éprouve pas la nécessité de convaincre qui que ce soit qu’elle l’est. Tu es ou tu n’es pas. Tu as ou tu n’as pas. Et si tu rêves tout le temps d’avoir ceci ou d’être cela, tu œuvres à renforcer la même réalité inconsciente : que tu n’as pas ça ou que tu n’est pas comme ça. »
….
« … le souci, c’est que vouloir trop de trucs est préjudiciable à ta santé mentale. Tu deviens accro au superficiel et au factice, et tu finis par passer ta vie à poursuivre un bonheur vain et une satisfaction illusoire. Si tu veux avoir une vie au top, n’essaie pas d’en vouloir davantage. Efforce-toi au contraire de baisser ton niveau d’aspiration, et de ne vouloir que ce qui est vrai, immédiat et important à tes yeux. »

« L’aspiration à vivre des expériences plus positives est en soi une expérience négative. Et, paradoxalement, consentir à vivre les expériences négatives qui se présentent ou s’imposent à nous constitue en soi une expérience positive. »

La loi de l’effet inverse

« C’est en en bavant à ton cours de gym que tu boostes ton énergie et améliores ta santé de manière générale. Si ton entreprise fait faillite, tu comprends mieux ce qui t’a manqué pour réussir. Paradoxalement, évoquer ouvertement ta timidité ou ton manque d’assurance accroît ton niveau de confiance en toi et te rend plus charismatique auprès des autres. Même si c’est pénible, t’exposer sans arrière-pensée à leur jugement représente le meilleur moyen de gagner la confiance et le respect de tes interlocuteurs. »

« Dans la vie, tout ce qui en vaut la peine s’obtient en consentant à surmonter l’expérience négative associée. La moindre velléité de fuite, d’empêchement ou de répression du négatif produit l’effet inverse. L’évitement de la souffrance produit de la souffrance. Le contournement de la lutte est en soi une lutte. Le déni de l’échec, c’est encore l’échec. Dissimuler ce qui est vécu comme honteux aliment le sentiment de honte. »
« La vie est tissée de fils de souffrance impossibles à dénouer. Les arracher déferait l’ensemble. T’escrimer à ignorer la souffrance revient à lui conférer une importance démesurée. En revanche, si tu parviens à ne pas t’en faire une montagne, alors rien ne saurait t’arrêter. »

« Si t’en foutre te paraît simple, ce n’est qu’une apparence. »
Voici 3 subtilités :
 » S’en foutre ne signifie pas être indifférent, mais être à l’aise avec le sentiment d’être différent. »
« Pour se foutre de l’adversité, il faut donner de l’importance à quelque chose de plus important que l’adversité. »
« Que tu t’en rendes compte ou pas, tu choisis toujours de tenir à un truc plutôt qu’à un autre. »
Voili Voilou
Si j’en ressent l’utilité, je te partagerais mes ressentis à l’écoute de la suite de ce livre audio .
Là dessus belle fin de journée à toi

https://youtu.be/EW5sr_KjtDQ


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